L’ENJEU DU JEU
La lecture est d’une importance capitale dans le processus d’apprentissage et de formation de l’élève. Face au désintérêt de plus en plus croissant et visiblement irréversible des élèves pour le livre, il revient à nous, acteurs du système éducatif, de redéfinir de nouvelles approches pédagogiques pour réinstaller cette valeur chez nos apprenants. C’est donc dans cette perspective que nous organisons chaque mois, ce jeu qui non seulement motive nos élèves à la lecture mais aussi les amène à un usage sainement ludique et didactique des appareils numériques.
À vous chers élèves de comprendre cet enjeu et de l’intégrer pour mieux construire votre orientation scolaire.
À vous enseignants d’expliquer la portée éducative de tels projets scolaires inédits à vos élèves dans ce monde hyper connecté et de les inviter à s’exercer et à renforcer leurs acquis à travers l’usage sainement ludique et didactique de leurs appareils numériques.
À vous parents d’élèves d’encourager vos enfants à participer à de telles initiatives qui leur seront bénéfiques à divers niveaux.
Savoir apprendre, c’est savoir vivre.
Vos suggestions, commentaires et observations sont attendus sur ce jeu. Merci.
Chers(e)s élèves du Secondaire, le Club Cedeao vous permet de gagner chaque mois, la somme de 5000 F CFA en participant au Jeu Lecture Club Cedeao.
COMMENT PARTICIPER ?
Chaque mois, téléchargez ou lisez directement le petit roman (10 à 15 pages) mis en ligne. Répondez aux dix (10) questions qui suivent le roman. Certains mots obtenus des différentes réponses vous permettront de formuler UNE phrase mystère. Remplissez le formulaire sur cette page, écrivez la phrase mystère puis validez. Le premier candidat à trouver la phrase mystère sera le gagnant du mois. Le nom du gagnant sera révélé le 1er du mois. Il recevra officiellement son Prix de 5000 F CFA par dépôt sur son numéro renseigné. Le jeu est remis en ligne le 5 de chaque mois.
Bonne chance à vous !!!

Chapitre 1 : Une vie dorée au quartier Millionnaire
Dans le riche « Quartier Millionnaire« de la commune de Yopougon à Abidjan, Kelly menait une existence que beaucoup enviaient. Issue d’une famille aisée, elle habitait une grande maison cernée de palmiers majestueux. Ses parents, homme et femme d’affaires prospères, veillaient à ce qu’elle ne manque de rien. Cependant, si l’abondance matérielle était omniprésente, les valeurs éthiques et sociales semblaient étrangement absentes.
Kelly passait ses journées à faire et défaire les règles. Le personnel domestique était pour elle une source constante d’amusement et parfois de mépris. Elle vivait dans un univers où tout lui semblait dû. Dès son plus jeune âge, elle avait été entourée de domestiques qui exécutaient ses moindres désirs, parfois même avant qu’elle ne les exprime. Mais plutôt que de la rendre reconnaissante, cette abondance de services avait nourri chez elle une attitude hautaine. Elle traitait le personnel domestique comme des ombres, des êtres invisibles dont elle ignorait jusqu’aux prénoms.
— Adèle, lève-toi ! Tu as oublié de repasser ma robe blanche pour la soirée ! avait-elle crié un soir à sa domestique, une femme d’une quarantaine d’années aux traits fatigués.
— Oui, Mademoiselle, je vais le faire tout de suite, répondit Adèle en s’empressant d’exécuter la demande.
— « Tout de suite ? » répéta Kelly, agacée. Pourquoi est-ce que tu ne penses jamais à ça avant que je ne te le dise ? Tu veux que je sois en retard à cause de toi ?
Adèle baissa les yeux, murmurant des excuses. Elle avait quitté son village depuis des années pour travailler dans cette maison, espérant subvenir aux besoins de ses trois enfants. Mais face à Kelly, elle se sentait parfois plus servante que mère.
Un autre jour, alors qu’Adèle était en train de nettoyer le salon, Kelly entra brusquement, un verre à la main.
— Prends ça, dit-elle en tendant le verre vide. Et apporte-moi du jus d’orange, mais pas celui du frigo. Fais-en un frais.
Adèle hésita.
— Je suis en train de balayer, mademoiselle. Puis-je finir et…
— Je n’ai pas demandé ton avis, répondit Kelly en tournant les talons. Dépêche-toi.
Adèle soupira profondément, ses mains tremblant légèrement. Elle savait que toute réplique supplémentaire risquait de lui coûter son emploi.
Chapitre 2 : Rolande, l’ombre du courage
Kelly n’était pas qu’une princesse chez elle. À l’école, elle cultivait une réputation de fille à problèmes. Ses camarades l’appelaient « La Diva », un surnom qu’elle portait avec fierté. Rolande, une élève studieuse issue d’une famille modeste, était particulièrement ciblée par ses moqueries.
— Alors Rolande, tu portes encore cette jupe délavée ? Tu sais qu’elle est passée de mode depuis des années, non ? avait-elle lâché un matin devant toute la classe.
Rolande, habituée à ces attaques, se contenta de baisser les yeux sans répondre. Mais dans son silence se lisait une profonde douleur.
Rolande était tout ce que Kelly n’était pas : humble, discrète, et d’une détermination inébranlable. Depuis la mort de son père, sa mère était son seul soutien. Malgré les difficultés financières, cette femme avait tout sacrifié pour que sa fille puisse poursuivre ses études. Rolande excellait dans toutes les matières, ce qui attisait la jalousie de Kelly.
Un jour, Rolande osa aborder Kelly après un cours de mathématiques.
— Kelly, je voulais juste te dire que si tu as besoin d’aide pour le devoir, je peux te montrer comment j’ai fait. Ce n’est pas très difficile.
Kelly la fixa, incrédule, avant d’éclater de rire.
— Toi ? Tu veux m’aider ? Ma pauvre, je n’ai pas besoin de tes leçons !
Rolande, blessée, tourna les talons. Pourtant, malgré les humiliations, elle ne cessait de cultiver sa bienveillance envers les autres.
Chapitre 3 : Les humiliations quotidiennes de son répétiteur
Si Kelly était cruelle avec les domestiques et certains amis, elle ne se montrait pas plus aimable avec son répétiteur, Paul, un étudiant en Maths info, d’origine modeste. Venu d’un quartier périphérique de Yopougon, Paul acceptait ce travail pour financer ses études. Il était patient, méthodique, mais aussi profondément humble, une qualité que Kelly considérait comme de la faiblesse.
Lors d’une séance de révision en mathématiques, Paul essaya de lui expliquer une équation qu’elle ne comprenait pas.
— Kelly, il suffit d’appliquer cette formule, regarde…
— Donne-moi ça, interrompit-elle, arrachant le stylo de ses mains. Comment veux-tu que je comprenne alors que tu écris comme un médecin ?
Paul, déconcerté, tenta de garder son calme.
— D’accord, je vais réécrire plus clairement. Mais concentre-toi sur les étapes, c’est ce qui…
— Tu parles trop, Paul, le coupa-t-elle. Si j’avais envie de me perdre dans tes charabias, je lirais un roman. Explique simplement.
Une autre fois, alors qu’il lui donnait des conseils pour un devoir de géométrie, Kelly éclata de rire.
— Tu veux vraiment me faire croire que c’est la meilleure démonstration ? Pas étonnant que tu sois là à répéter les enfants des autres au lieu de travailler dans une grande entreprise.
Paul sentit un nœud se former dans son estomac. Il hésita à riposter, mais son besoin d’argent le réduisait au silence.
Chapitre 4 : Des parents absents
Les parents de Kelly, bien qu’aimants, n’étaient pas de véritables modèles. Son père, un homme d’affaires constamment en déplacement, apparaissait rarement à la maison. Lorsqu’il était présent, il se contentait de poser des questions banales.
— Tes notes ? C’est bon, non ?
À chaque fois, Kelly hochait la tête, même si ses bulletins laissaient à désirer. Son père ne demandait jamais à voir ses résultats, préférant se contenter de ses réponses évasives.
Quant à sa mère, elle était absorbée par ses activités sociales. Entre les soirées caritatives, les rendez-vous chez l’esthéticienne et les déjeuners avec ses amies, elle n’avait que peu de temps à consacrer à sa fille. Lorsqu’elle remarquait les écarts de conduite de Kelly, elle les excusait rapidement.
— Elle est jeune, disait-elle souvent à son mari. C’est normal qu’elle teste ses limites.
Un jour, alors qu’une voisine se plaignait du comportement de Kelly envers les domestiques, sa mère répondit avec un sourire crispé :
— Oh, vous savez, les jeunes d’aujourd’hui ont du caractère. C’est bien, ça prouve qu’elle sait ce qu’elle veut.
Les humiliations que Kelly infligeait aux autres étaient devenues une habitude pour elle. Pourtant, derrière son arrogance, des fissures commençaient à apparaître. Elle se rendait compte, dans de rares moments de solitude, que sa vie était vide de véritables relations humaines. Mais à chaque fois que cette vérité la frôlait, elle se réfugiait dans son arrogance, incapable d’affronter ce que cela signifiait vraiment.
Chapitre 5 : Une tragédie inattendue
Un matin, l’absence de Rolande fut remarquée par toute la classe. Une semaine passa sans qu’elle ne réapparaisse. L’inquiétude gagna les élèves, et les rumeurs commencèrent à circuler. C’est alors que le professeur principal annonça la nouvelle : Rolande venait de perdre sa mère, son unique soutien. Orpheline et sans ressource, elle risquait de devoir abandonner ses études.
La nouvelle de la tragédie frappant Rolande bouleversa l’atmosphère de l’école. Son absence répétée, inhabituelle pour une élève aussi studieuse, avait d’abord été perçue comme une simple grippe ou un problème passager. Mais lorsque la rumeur de la perte de sa mère – son unique parent – se confirma, la classe entière fut secouée par une vague de stupeur et de tristesse.
Seki, un garçon discret mais doté d’un sens profond de la justice, demanda la parole un matin, alors que la classe était étrangement silencieuse. Il se leva et déclara d’une voix tremblante mais ferme :
— Rolande a toujours été là pour nous. Même si elle parlait peu, elle aidait ceux qui avaient besoin d’un coup de main. Elle partageait ses cahiers, répondait à nos questions… Et maintenant, c’est à nous de lui rendre la pareille.
Les élèves échangèrent des regards hésitants, surpris par l’audace de Seki. Il continua :
— La vie est imprévisible. Aujourd’hui, c’est Rolande qui souffre, mais demain, ça pourrait être l’un de nous. Alors, je propose qu’on se mobilise pour l’aider.
Un murmure d’approbation parcourut la classe. Le lendemain, une collecte fut organisée : certains donnèrent de l’argent, d’autres des fournitures scolaires, et même des vêtements. Une élève suggéra que chaque groupe d’amis écrive une lettre d’encouragement à Rolande pour lui montrer qu’elle n’était pas seule.
Lorsque la nouvelle de cette initiative atteignit Kelly, elle se sentit envahie par une confusion insoutenable. Elle se souvenait avec amertume des multiples fois où elle avait rabaissé Rolande en public, la qualifiant de « fille sans style » ou de « pauvre petite souris ». La culpabilité la rongeait, mais son orgueil restait un mur infranchissable.
— Tu te souviens de la fois où Rolande m’a aidée à comprendre ce problème de mathématiques ? disait une fille. Elle m’a sauvée avant l’interrogation !
— Et moi, ajouta un autre, elle m’a prêté son manuel pendant un mois quand je ne pouvais pas en acheter un.
Chaque témoignage était une piqûre dans le cœur de Kelly. Elle avait tant combattu cette fille, et pourtant, Rolande n’avait jamais cessé d’être généreuse et bienveillante.
Dans un élan soudain, Kelly se dirigea vers Seki, qui collectait les dons.
— Est-ce que… est-ce que je peux participer ? demanda-t-elle, hésitante.
Seki, visiblement surpris, la fixa un instant avant de répondre avec un sourire chaleureux :
— Bien sûr. C’est pour elle, pas pour nous.
Kelly fit un don conséquent et écrivit une lettre, maladroite mais sincère, où elle exprimait ses regrets et son soutien. Pour la première fois, elle sentit un poids se soulever de ses épaules.
Chapitre 6 : La rédemption
Le jour où les élèves décidèrent de rendre visite à Rolande fut rempli d’émotions. Une dizaine d’élèves, chargés de dons et de lettres, se rendirent dans la modeste maison où vivait désormais Rolande, hébergée par une cousine éloignée.
Lorsque Rolande ouvrit la porte, ses yeux rougis et son visage pâle témoignaient de la douleur qu’elle portait. Mais en voyant ses camarades, son expression s’adoucit.
— Vous… vous êtes venus ? balbutia-t-elle, incrédule.
— Bien sûr, répondit Seki avec un sourire apaisant. Nous sommes là pour toi, Rolande.
Les élèves entrèrent et saluèrent la famille éplorée. Puis ils remirent à Rolande leurs dons, un à un. Chaque geste était accompagné de mots réconfortants et d’une promesse implicite : celle de ne pas la laisser tomber.
Lorsque ce fut au tour de Kelly, elle sentit sa gorge se nouer. Avec un courage qu’elle n’aurait jamais cru posséder, elle s’approcha de Rolande et tendit une enveloppe.
— Je… je suis désolée, murmura-t-elle, les larmes aux yeux. Désolée pour tout ce que je t’ai fait.
Rolande, surprise, resta un instant figée. Puis, dans un geste inattendu, elle prit la main de Kelly et la serra.
— Merci, Kelly.
Ce simple mot bouleversa Kelly. Pour la première fois, elle comprit ce que signifiait réellement le pardon.
Dans les jours qui suivirent, une transformation s’opéra dans la vie de Rolande. Soutenue par ses camarades, elle retrouva peu à peu sa motivation et son sourire.
Pour Kelly, cette expérience marqua un tournant décisif. Elle se rendit compte que la vraie grandeur ne résidait pas dans la richesse ou l’apparence, mais dans la capacité à tendre la main à ceux qui en avaient besoin.
Chapitre 7 : La révélation et les remords parentaux
Lorsque Kelly franchit la porte de la maison ce soir-là, un mélange inhabituel de détermination et d’appréhension l’habitait. Elle avait décidé d’expliquer à ses parents tout ce qui s’était passé : ses mauvais comportements, ses erreurs, mais surtout sa réconciliation avec Rolande. Pour la première fois, elle se sentait prête à affronter leur laxisme dans son éducation et leur jugement.
Assis dans le salon spacieux, ses parents, étaient en pleine discussion. Leur fille, d’un ton hésitant mais sincère, commença :
— Papa, maman… Je dois vous parler. C’est important.
Les parents échangèrent un regard surpris. Il n’était pas dans les habitudes de Kelly d’initier ce genre de conversation sérieuse. Elle se lança, racontant tout, depuis son hostilité envers Rolande jusqu’à l’élan de solidarité de sa classe, et surtout, la transformation intérieure qu’elle vivait.
— Rolande a perdu ses parents, et je… je n’ai pas été à la hauteur. J’ai été cruelle avec elle, et avec d’autres, même le personnel de la maison. Mais aujourd’hui, je veux changer. Je veux être meilleure.
Le silence qui suivit fut lourd de sens. Son père, d’habitude sûr de lui, se leva et fit quelques pas dans le salon, les mains croisées derrière le dos. Son épouse, les yeux baissés, triturait nerveusement un coin de son foulard.
— J’ai échoué, murmura la femme, d’une voix tremblante.
— Non, ce n’est pas toi qui as échoué, rétorqua son mari. C’est nous. Nous avons tout donné à Kelly, sauf l’essentiel : des valeurs, des repères, du temps. Nous avons cru que l’argent suffisait, mais nous avions tort.
Un sentiment de honte profond les submergea. Comment avaient-ils pu ignorer pendant si longtemps les signaux ? Les remarques du personnel domestique sur l’attitude désinvolte de Kelly, les avertissements des enseignants sur son comportement à l’école… Tout cela, ils l’avaient balayé d’un revers de main, persuadés que leur fille finirait par se « responsabiliser ».
— Je vous ai souvent vu fermer les yeux sur mes erreurs, reprit Kelly, les larmes aux yeux. Peut-être que si vous aviez été plus stricts avec moi…
— Nous sommes les premiers responsables, Kelly, coupa son père. Nous aurions dû te guider, t’apprendre l’importance du respect et de l’humilité. Aujourd’hui, tu nous donnes une leçon que nous aurions dû te transmettre il y a bien longtemps.
Le visage de la mère de Kelly se mouilla de larmes silencieuses. Elle se remémora les nombreuses fois où elle avait préféré satisfaire un caprice de sa fille plutôt que de lui enseigner la patience, où elle avait évité les discussions sérieuses sous prétexte de fatigue.
— Nous sommes fiers de toi, Kelly, finit-elle par dire en serrant sa fille dans ses bras. Non pas pour ce que tu étais avant, mais pour ce que tu es en train de devenir.
Ce moment fut un tournant, non seulement pour Kelly, mais aussi pour ses parents. Ils comprirent que l’éducation était bien plus qu’une question de moyens matériels : c’était un engagement de chaque instant, un travail d’amour, de discipline et de transmission de valeurs. Cette soirée marqua le début d’un effort collectif, au sein de la famille, pour reconstruire les bases d’une vie axée sur l’humilité, le respect et l’amour.
Leçons des parents :
L’éducation va au-delà des moyens matériels : Les parents de Kelly ont appris que donner des cadeaux et de l’argent ne suffit pas à former un enfant équilibré. L’éducation nécessite du temps, de l’attention et surtout, la transmission des valeurs fondamentales comme le respect, l’humilité et l’empathie.
Reconnaître ses erreurs et changer : Les parents de Kelly ont eu le courage d’admettre leurs manquements. Cela montre que même en tant qu’adultes, il est toujours possible de revoir ses méthodes, de s’améliorer et de réparer ses erreurs en se remettant en question.
Leçons de Kelly :
La force du respect et de la réconciliation : Kelly a compris que le mépris et l’arrogance ne mènent nulle part. En se réconciliant avec Rolande et en changeant son comportement, elle a découvert l’importance des relations humaines basées sur le respect et la bienveillance.
Le courage d’affronter ses erreurs : Kelly a montré qu’il faut du courage pour admettre ses torts et changer. Cette transformation intérieure lui a permis de grandir, de s’affranchir de son orgueil et de devenir une meilleure personne.
Vous avez fini de lire le roman et vous voulez participer au jeu ?
Répondez aux dix questions sur le roman. Notez bien au brouillon les mots ou groupes de mots trouvés à chaque réponse. Trois (3) réponses vous permettront de composer la phrase mystère. Sept (7) réponses sont des intruses (inutiles).
Une fois la phrase mystère trouvée, remplissez le formulaire, écrivez la phrase mystère et validez. Attendez le samedi 1er Mars 2025 pour découvrir le nom du lauréat. Si vous êtes le (la) lauréat(e), vous recevrez votre dépôt de 5.000f CFA ce même jour par Wave. Le jeu sera remis en ligne le 5 Mars avec un nouveau roman et dix questions pour une nouvelle phrase mystère.
Allez !!! Bonne lecture et surtout bonne chance au jeu.
Réponds aux questions et complète les phrases à trous
1- ……………. ont eu le courage d’admettre leurs manquements.
2- Kelly passait ses journées à faire et défaire quoi ?
3- Les humiliations que Kelly infligeait aux autres étaient devenues ………… pour elle
4- Quant à sa mère, elle était absorbée par quoi ?
5- Elle se rendit compte que ………..
6- Paul, un étudiant en Maths info, venait d’où ?
7- Comment les camarades de Kelly l’appelaient l’école ?
8- Ils ……….……. : c’était un engagement de chaque instant, un travail d’amour, de discipline et de transmission de valeurs
9- Qui soupira profondément, ses mains tremblant légèrement ?
10- Quel simple mot de Rolande bouleversa Kelly?

6 réflexions au sujet de « jeu cedeao »
Super. Merci
Super
Ah ouais prochainement ma chance au rdv🙌
Je pense que ce site est très motivant et développe l’esprit intellectuelle
Cette plateforme de jeu en ligne favorise aux developpement de la culture litteraire et intellectuel des jeunes apprenants
La litterature est le seul pouvoir a booster la capacité intelligible de l’apprenant donc je vous sensibilise a pratiquer la lecture